
La sobriété peut-elle être « heureuse » ? et puis, de quoi parle-t-on ?
Parmi les recettes pour réduire notre empreinte sur la biosphère figure en bonne place la sobriété. Sobriété que nous vantait Pierre Rabhi (une « sobriété heureuse ») et que d’autres nous avaient proposée sous le terme moins avenant de « décroissance soutenable» ou « d’abondance frugale ». Alors, de quoi parle-t-on ? à qui s’adresse le message ? Quels sont les difficultés sur le chemin de la sobriété ? Enquête