
Depuis leur apparition sur terre, de nombreux animaux (dont Homo Sapiens) ont eu besoin de se protéger des dangers et des aléas météorologiques en construisant (ou en choisissant) un abri. Certains sont transportables (les tipis), d’autres éphémères (igloos, nids), d’autres faits pour durer (barrage de castors, abris humains). Jusqu’au siècle dernier il semblait qu’il n’y avait pas de limite aux constructions humaines et que la terre qui supporte ces constructions sem-
blait inépuisable. Or, les points de concentration de l’habitat humain se situent principalement dans les plaines, autour des fleuves, c’est-à-dire sur les sols les plus riches pour l’agriculture: s’abriter ou manger: va-t-il falloir choisir ?







